16 sept. 2017

Une maison de rêve - Sophie Kinsella / Madeleine Wickham



Un Kinsella, ça faisait longtemps !!!


En lisant le résumé, je me suis de suite dit que ce roman allait me plaire.
"Les Chambers sont couverts de dettes. Quelle idée, aussi, de faire l'acquisition d'une école privée alors que leur ancienne maison est toujours à vendre . Penché sur ses comptes, Jonathan voit son rêve s'écrouler, quand Liz, elle, se rassure dans les bras de Marcus. Elle voit en lui la solution à tous ses problèmes : en plus d'être un amant parfait,il trouve des locataires pour leur maison. Et pas n'importe lesquels : elle est attachée de presse, il est acteur pour la télé. Rien de tel pour retenir l'attention d'Alice, la filles des Chambers..."

Et une fois lancée dans ma lecture, j'ai dû m'y accrocher... Comme à chaque fois que Sophie Kinsella publie sous le nom de Madeleine Wickham ! Il y a un truc, pourquoi ces romans là sont plus dans le contemporain barbant que dans le style "Kinsella", celui qui nous fait sourire, rire, etc... 
Bon vous l'aurez compris, je n'ai pas trop aimé ma lecture, bien que je l'ai lu en entière ! 


Trois famille se partagent le roman, une de trop selon moi... 
Les personnages sont trop clichés et (désolée mais... ils sont méga) chiants, en plus ! 

Il y a tout d'abord les Chambers, famille de profs, un brin ruiné :
Liz Chambers qui chamboule toute sa vie familiale pour un projet pro et qui ensuite s'en fout royalement !
Jonathan Chambers, lui, je l'ai bien aimé : il porte le poids du Monde sur ses épaules et il arrive encore à sourire et à penser au bien être des autres.
Alice, leur fille : trop cliché : elle a honte de ses parents, elle est mal dans sa peau, elle fume à 14 ans, elle squatte chez ses locataires qui la subissent, etc... 

Il y a les Witherstone, famille de bourge où tout ne doit être qu'apparence :
Marcus Witherstone, associé super riche qui va le devenir encore plus et qui a des maîtresses au fil du temps. Un père qui se revèlera sur la fin du roman être quelqu'un de bien pour ses fils.
Anthéa Witherstone, personnage abjecte, cliché de la desperate housewife.
Les fils, qui eux morflent bien à cause de leurs parents mais super intellos. Ils m'ont bien fait rire (et juste eux)!

Il y a les Prentice, couple mondain qui galère dans la vie :
Ginny Prentice, elle rêve de grandeur et vie de labeur.
Piers Prentice, acteur has-been mais beau gosse.

Si le roman s'était centré sur ces derniers, les Prentice, je pense que j'aurai davantage apprécié ma lecture...

Beaucoup trop de descriptions, qui n'apportent pas grand chose selon moi, à la trame du roman.  Un roman qui ne tient pas ses promesses, dommage... 
Mais ça ne m'empêchera pas de lire d'autres Kinsella, que nenni ! 

Sophie Kinsella m'avait habituée à bien mieux ! 



Auteure : Sophie Kinsella
Maison d'Editions : Pocket
Date de parution :  2010
Pages : 341
L'avez-vous lu ? Si oui, vous en avez pensé quoi, vous ?


2 commentaires:

  1. Je suis d'accord quand c'est Madeleine Wickham, c'est moins bien.
    J'ai ce livre dans ma PAL et les avis sont très très mitigés alors j'ai un peu peur...

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    1. Décidément, je me rends compte que nous sommes beaucoup à faire ce constat !!!
      Du coup, tu flippes, hein... Bon je te rassure, "ça se lit", mais ce n'est pas drôle, pas glam, pas chick-lit pour un sou, quoi ! XD

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